CONFRERIE DE PARIS [ 4 / 4 ]

Fils d'une Américaine et d'un Français, Stan a du sang de tueur dans ses veines. Sa mère a rejoint la Confrérie de France alors qu'elle faisait des études de police dans ce pays où elle rêvait de travailler. Le père de Stan lui a fait connaître la Confrérie lorsqu'il a su qu'elle avait ce don qu'ils ont tous. De leur union naquit Stanley qui se fait appeler Stan à la Confrérie. Bien qu'il soit sérieux pour les codes de la Confrérie, Stanley est un grand salaud. Si ses cibles sont des femmes, il en profite -avec consentement- avant de les tuer. Une soirée de plaisir avant l'épreuve de la mort. Il sait qu'il joue un jeu dangereux et qu'il pourrait tomber amoureux de ses cibles en faisant cela, mais ce n'est pas pour autant qu'il s'arrête de jouer. Stanley vit encore avec ses parents dans un luxueux appartement de plusieurs étages. Il est aussi bon en tirs qu'au Golf.

Né de parents Franco-Anglais, Dean fut élevé dans un quartier de Paris assez banal. Enfant, personne ne lui parlait mais c'est lui même un grand solitaire. Lors de ses 15 ans, ses parents meurent tout deux, tués par balles alors qu'il se cache dans un placard, voyant à travers la fente tout ce qu'il se passait. Il resta très perturbé par ces évènements et se referma encore plus sur lui même. Victime de moqueries, il commençait à faire des crises d'angoisses et prenait des cachets pour se guérir. Mais le jour de ses 18 ans, alors qu'il était libre de l'orphelinat où on l'avait placé à la mort de ses parents, Dean fut recueilli par une Confrérie. Le chef de cette confrérie lui expliqua tout en détail. Il est un tueur qui a pour but d'éliminer les personnes nuisibles au bon fonctionnement des lois. Les personnes dangereuses sont tuées afin que la paix règne à Paris. Un peu fainéant, Dean aura du mal à prendre au sérieux ce qu'on lui dicte de faire et sera toujours rappelé par les coups du réparateurs qui le forme à être plus fort face à la douleur. Le jour où il sera prêt, il pourra avoir des missions. Pour le moment, il lui manque la motivation nécessaire et de l'entraînement.

Jennifer se fait appeler Jen. Ses parents ont fait d'elle une vraie machine à tuer, elle ne recule devant rien et respecte toujours le code de la Confrérie. C'est une fille qui ne rêve pas d'un mariage, d'un bébé et d'une belle maison tranquille, elle a toujours besoin de prouver qu'elle est forte et le montre autant qu'elle le peut. Certains gars de la Confrérie ne supporteront pas trop ses airs supérieurs, mais elle est comme ça et elle ne souhaite changer pour rien au monde. « Montrer de la pitié, c'est laisser le monde couler » C'est sa devise et elle s'y tient. Ses parents sont toujours en vie et fiers d'elle. Jen ne cesse de montrer ses talents à son paternel, pour elle c'est ce qui compte le plus, qu'il soit fier d'elle. Sa soeur est Crystal mais elle ne lui parle que très peu car elle refuse de l'avoir dans les pattes. Elle sait qu'elle est la favorite de la famille et c'est ce qui la motive encore plus, avant de sauver des vies.

Crystal se considère comme le vilain petit canard de la famille. Elle est celle qui a le moins de puissance de tirs, celle qui n'a pas assez de force dans ses sauts, celle qui résiste le moins à la douleur, celle pour qui la vie de Tueuse est très difficile. Sa soeur est la meilleure de la famille, ses parents sont fiers d'elles et la couvrent de fleurs. Lorsque Crystal a fini un entraînement chez l'armurier, elle n'a droit qu'à des « travaille mieux que ça ! » et ce même si elle fait des efforts. Crystal sera une âme torturée mais la motivation de prouver à sa famille qu'elle peut elle aussi sauver le monde la poussera à bien travailler, même si elle rêve d'une vie plus tranquille, loin de la Confrérie.